On accepte que la littérature “achiq” est le morceau de la littérature orale selon ses processus de la production et la transmission. En dépit de cette acceptation générale, les recherches sur ce thème sont très influences par les approches de l’histoire de la littérature écrite. Les processus du nationalisme en Turquie ont placé les achiq comme les créateurs de la littérature nationale en face des poètes “divan”.Les chercheures et les dirigeants locaux ont soutenu cette tendance dans le processus du nationalisme. En raison de cette approche, les personnages des mythes, légendes et récits sont devenues les personnes de l’histoire à coté des achiq qui existaient physiquement.De cette manière, les dirigeants locaux et les certains chercheurs ont cru que ces personnages sont réels et ils ont vécu dans l’histoire. Ces tendances ont cherché à effacer les variantes qui sont les indices le plus important a propos de la littérature orale chez les achiq. Ces pratiques ont été faites sous l’influence de la théorie historique-géographique et la méthode de l’édition critique. Il n’est pas correct cette application de ces méthodes pour les variantes de la poésie achiq. Les nouvelles méthodes folkloriques ont mis à la lumière du jour que les variantes ne sont pas les fautes de création elles sont les formes de reproduction. Les poètes oraux ne mémorisent pas ses textes, d’ailleurs ils font de nouvelle création au cours de chaque raconte selon la théorie d’oral-stéréotypé (formulaic) La théorie mythe-rituelle maintient que l’histoire hypothétique de la mémoire orale n’es pas réelle. Les fonctionnalistes, en critiquant cette méthode, ont soutenu que la mémoire orale peux être témoin de l’histoire réelle dans les certains cas. En conséquence, chercher la vérité historique dans le domaine de la poésie orale est une aventure dangereuse et il faut connaître les pièges avant le voyage.